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DHA répond à PASSOP déclaration sur les expulsions

Le porte-parole du ministère des Affaires intérieures, Ronnie Mamoepa, a publié aujourd'hui un communiqué de presse en réponse à de déclaration à la presse hier PASSOP au sujet de la levée du moratoire sur l'expulsion des Zimbabwéens. La déclaration, qui est intitulé “PASSOP doit cesser de faire semblant d'être le porte-parole de Zimbabwéens vivant en Afrique du Sud” (voir ci-dessous pour déclaration complète), attaques PASSOP et défend le droit du DHA à expulser des personnes, mais il ne nie pas l'une des revendications que nous avons fait dans notre déclaration d'hier.

Le fait que le DHA n'a pas nié une quelconque des revendications formulées dans notre déclaration confirme que le DHA a en effet levé le presque de 3 ans moratoire sur l'expulsion des Zimbabwéens. Nous regrettons que la déclaration attaque PASSOP, quand tout ce que nous avons fait a été faire la lumière sur ce qui se passe et augmenter nos préoccupations à ce sujet.

PASSOP ne «faire semblant d'être le porte-parole des Zimbabwéens vivant en Afrique du Sud» pas. Nous ne «prétendons pas’ être quelque chose. Ce que nous sommes est une organisation des droits de l'homme dont la mission et le but est de protéger et promouvoir les droits de tous les réfugiés, les demandeurs d’asile et les immigrants dans ce pays.

Nous croyons que l'expulsion, indépendamment du fait que le migrant est du Zimbabwe, la République démocratique du Congo, Ouganda ou tout autre pays, est une pratique inhumaine et non-africaine. Il est de notre rôle en tant qu'organisation de la société civile pour obliger le gouvernement à rendre compte quand nous nous sentons qu'il est en train de court dans le traitement de cette circonscription. La manière secrète avec laquelle le Ministère a maintenant déménagé à lever le moratoire sur les expulsions de Zimbabwéens n'est pas acceptable.

Non seulement le manque de transparence et l'absence de consultation inquiétant, mais il vient aussi à un moment sensible, tant au niveau national et international. Sur le plan intérieur, nous pensons que cela va saper les efforts de Stats SA pour mener le premier recensement complet en dix ans. Internationalement, nous pensons que la situation au Zimbabwe est toujours en suspens et trop fragile pour justifier l'expulsion des gens là-bas.

Soyons clairs à ce sujet, quand nous sommes contre les expulsions, nous parlons pas des criminels, mais des mères et des pères qui travaillent dur qui ont été forcés de fuir leur pays d'origine afin d'être en mesure de fournir à leurs enfants avec de la nourriture et de la sécurité.

Voir ci-dessous pour le communiqué publié par le ministère des Affaires intérieures:

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

PASSOP doit cesser Feignant d'être PORTE-PAROLE DE Zimbabwéens vivant EN AFRIQUE DU SUD

Pretoria - Le ministère de l'Intérieur a pris note de la déclaration faite par PASSOP concernant l'expulsion de ressortissants zimbabwéens illégaux. Il est de notre conviction que PASSOP doit cesser de faire semblant d'être le porte-parole de Zimbabwéens vivant en Afrique du Sud.

La majorité des Zimbabwéens vivant en Afrique du Sud sont des citoyens respectueux de la loi qui ont tout fait en leur pouvoir pour régulariser leur séjour en Afrique du Sud en profitant du projet de documentation du Zimbabwe. Ce qu'ils ont fait pour se conformer aux lois sur l'immigration d'Afrique du Sud qui sont en conformité avec les protocoles et les conventions internationales régissant l'immigration.

À cet égard, ces ressortissants Zimbabwéens parlent d'eux-mêmes par les établis Accueil Forum des parties prenantes Affaires-Zimbabwe, un mécanisme créé pour réguler les interactions entre le ministère de l'Intérieur et des représentants de diverses organisations du Zimbabwe, y compris l'ambassade et le consulat du Zimbabwe basé en Afrique du Sud.

Le mandat du ministère des Affaires intérieures découlant de notre constitution nationale demeure la nécessité de gérer l'immigration en toute sécurité et efficacement dans les lois de la République.

À cet égard, aucun pays dans le monde permettra à l'immigration clandestine au sein de ses frontières. Ceci est la pratique internationale. Mais cela ne porte pas atteinte à la nécessité de protéger les droits des réfugiés et demandeurs d'asile en conformité avec nos obligations internationales.

En consequence, les Zimbabwéens vivant en Afrique du Sud et avait demandé la régularisation de leur séjour à travers le Projet de Documentation du Zimbabwe n'a rien à craindre. Personne qui a demandé la régularisation de leur séjour en Afrique du Sud sera soumis à l'expulsion que leur séjour est protégé dans nos règles et règlements.

Cependant, ceux qui ne profitent du projet de régularisation, y compris ceux qui continuent à miner les lois sur l'immigration d'Afrique du Sud en entrant illégalement dans le pays ne peut pas prétendre à la protection des règles et règlements régissant la régularisation des Zimbabwéens vivant en Afrique du Sud du pays.

Publié par Ronnie Mamoepa au 082-990-4853

Département des Home Affairs (Affaires Intérieures)

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